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TECH-CARE : découvrez dans cette catégorie tout ce qui touche au CARE, à la santé (services d’aide à la personne, aidant familial…).

Comment OTONO-ME complète efficacement les déclencheurs et les détecteurs de chute : explications

Cette semaine, le service OTONO-ME a évité deux fois à une personne fragile et âgée de rester au sol après une chute.

 
Equipe Telegrafik satisfaite chute évitéeCe type d’événement constitue une grande satisfaction pour l’équipe Telegrafik à chaque fois qu’il se produit, et donne un sens fort à notre travail.
Nous avons voulu cette fois partager avec vous le déroulé des événements. Celui-ci illustre l’intérêt de dispositifs de téléassistance intelligents pour sécuriser les personnes à leur domicile, et les limites des bracelets de détection de chute ou des déclencheurs.
 

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Les robots de téléprésence : complémentaires de la téléassistance ?

Chez Telegrafik, nous sommes convaincus que l’arrivée des robots de téléprésence aux domiciles des personnes fragiles est imminente, et pourvoyeuse de nouvelles gammes de services utiles.

C’est pourquoi nous nous sommes associés à la société RoboCARE Lab, pour tester en conditions réelles la complémentarité de notre service OTONO-ME, téléassistance enrichie permettant de mieux sécuriser les personnes âgées seules à domicile et de rassurer leurs proches au quotidien, avec un robot SAM.

 

Qui est le robot SAM ?

Robot de téléprésence SAM

SAM (Système Audiovisuel Mobile) est un robot de téléprésence composé d’un écran et d’un pied, et permettant aux aidants familiaux de se déplacer dans le logement d’une personne et de lui parler à distance.

Ce service a été mis au point par la société RoboCARE Lab, avec l’ambition de ré-enchanter la vie quotidienne des personnes âgées à l’aide de robots compagnons. www.presenceplushome.com

 

 

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Aidons nos salariés-aidants

salarie-aidant8,3 millions : c’est le nombre total estimé d’aidants âgés de plus de 16 ans en France. Parmi ces personnes, la moitié sont des salariés et ont donc le statut de « salariés-aidants ».

Mais, quelle est la définition précise d’un aidant : c’est « la personne non professionnelle qui vient en aide à titre principal, pour partie ou totalement, à une personne dépendante de son entourage, pour les activités de la vie quotidienne »[1]. Cette aide peut prendre plusieurs formes comme notamment les démarches administratives, le soutien psychologique, ou encore les soins quotidiens.

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Le numérique au service du bien vieillir chez soi (part. 2)

les solutions telemedecine

 

Les solutions actuelles de téléassistance ne permettent pas de protéger pleinement les personnes âgées seules à domicile qui n’ont qu’une envie : rester chez elles le plus longtemps possible. En tant que spécialiste des technologies du bien vieillir à domicile, Telegrafik a sélectionné pour vous les solutions de demain qui permettront de vivre en sécurité chez soi le plus longtemps possible

 

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Le numérique au service du bien vieillir chez soi (part. 1)

Telegrafik fait partie des acteurs appartenant à l’écosystème du numérique. En effet, nous proposons des services connectés pour les familles en utilisant les dernières technologies disponibles du numérique. Dans cet article, nous voulions prendre la parole sur les sujets du bien vieillir à domicile et citer les solutions disponibles actuellement sur le marché ainsi que celles qui le seront dans le futur.

Une démographie mondiale vieillissante

Personne âgée_2Le vieillissement démographique touche toute la planète et plus précisément l’Europe. En effet, à l’exception du Japon, les quinze plus vieux pays sont européens. Il faut savoir également qu’en Europe, la part des plus de 80 ans doublera d’ici 2050. On constate donc que la part de la population vieillissante est en nette augmentation. De plus, la majorité d’entre eux veulent vieillir dans de bonnes conditions, à leur domicile, le plus longtemps possible.

Face à ces enjeux sociétaux, il est crucial de pouvoir accompagner les personnes dans leur avancée en âge et de faire reculer la perte d’autonomie.
En utilisant bien sûr des moyens humains, des professionnels formés, mais aussi en s’appuyant sur les possibilités offertes par le numérique.

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L’enjeu de la formation Formell pour les aidants : « Apprendre à prendre soin de soi »

TELEGRAFIK s’est rendu dans les locaux de Formell, la société spécialisée dans l’accompagnement des aidants familiaux, créée en 2009. Nous y avons interviewé la formatrice Caroline Récoché et avons eu la chance de pouvoir recueillir de nombreuses informations concernant le quotidien des aidants ainsi que le contenu des formations prodiguées par l’entreprise.

 

Caroline Récoché est arrivée dans l’entreprise au début de l’année 2013. Issue d’une formation variée, en passant d’une licence d’informatique à un master d’accompagnement et de conseil en développement professionnel, c’est avant tout son expérience personnelle qui l’a poussée à choisir ce métier.

La mission de Formell

L’objectif principal de la formation Formell, qui est éligible au DIF (Droit individuel à la formation) sur la plupart des OPCA (Organisme paritaire collecteur agréé) mais qui rentre aussi dans « le plan de formation » des entreprises, est d’apprendre à prendre soin de soi. La société ne peut pas améliorer la vie des aidants mais elle leur permet de mieux vivre la situation au quotidien grâce à de précieux conseils, car contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, c’est bien souvent l’aidant qui succombe physiquement et/ou mentalement avant l’aidé.

Seule entreprise de la région dans le domaine de la formation aux aidants, la valeur ajoutée de Formell est dans sa capacité à adapter son offre à n’importe quel client et l’amélioration constante de son service grâce aux expériences passées.

Ses principaux clients sont les grandes entreprises telles que La Poste, Airbus, Orange ; sachant que 10% des salariés sont des aidants et qu’ils seront 20 % d’ici l’année 2020. Il est difficile pour un aidant de concilier vie professionnelle et vie d’aidant, c’est pourquoi ce type de formation, organisée dans le cadre professionnel, est un excellent moyen permettant de créer une forme de solidarité entre aidants-salariés de l’entreprise.

En quoi consiste la formation Formell ?

La première session de cette formation, durant entre 2 et 4 jours, se concentre principalement sur le partage d’expériences. Dès le début, les aidants se sentent compris et pensent tout bas : « On n’est pas seuls à vivre cette expérience ». Se reconnaître et se comprendre est l’une des étapes fondamentales de la formation. Ensuite, de nombreux conseils leur sont prodigués afin d’apaiser leur vie en tant qu’aidant et des documents informatifs leur sont distribués leur permettant de monter des dossiers pour être soutenu financièrement, entre autres.

Un bilan à 6 mois est ensuite organisé afin de constater ce que les aidants ont « fait » de cette formation et le cheminement par lequel ils sont passés. Cette seconde session est aussi l’occasion pour cette entreprise d’affiner le programme de la formation et de l’améliorer en fonction des retours des aidants.

 

Quelques informations sur le monde des aidants 

  • Le profil type des aidants formés sont le plus souvent des femmes accompagnant leurs parents, ou ayant un conjoint malade ou en situation de handicap.
  • Une étude sur la contribution des aidants a été menée et la contribution informelle s’élève à 164 milliards d’euros, soit 3h par jour en moyenne à 19€ de l’heure pour 8 à 10 millions d’aidants en France. Ce chiffre est colossal et démontre bien l’importance de cette population encore très peu aidée.
  • Le droit au répit est essentiel pour les aidants tout comme l’aidé. Depuis la loi adaptation de la société au vieillissement, jusqu’à 500€ par an seront versés à l’aidé afin qu’il puisse par exemple se financer une semaine d’hébergement temporaire et que l’aidant puisse partir en vacances. Cette alternative est un excellent moyen pour l’aidant de se reposer, néanmoins, le montant attribué par l’État n’est pas encore suffisant pour prendre complètement en charge le montant des structures d’accueil.

 

À propos de Formell : Du 13 au 17 octobre 2014, c’était la semaine des aidants chez Formell. Cette formation est une première et est organisée pour Latécoère, le premier client de la société.

Aidants familiaux en France : un milieu encore en structuration

8 millions ! C’est le nombre total estimé d’aidants familiaux âgés de plus de 16 ans en France. Parmi ces personnes, il y en a environ 4 millions aidant au moins une personne de leur entourage âgée de plus de 60 ans.

Mais, quelle est la définition précise d’un aidant familial : c’est « la personne non professionnelle qui vient en aide à titre principal, pour partie ou totalement, à une personne dépendante de son entourage, pour les activités de la vie quotidienne »[1]. Cette aide peut prendre plusieurs formes : que démarches administratives, soutien psychologique, ou encore soins quotidiens.

  1. Les chiffres

Le monde des aidants familiaux est majoritairement composé de femmes. Ainsi, dans 66% des cas, ce sont des femmes qui prennent soin de leurs proches âgés de plus de 60 ans.

En règle générale, un aidant familial possède un lien direct avec la personne aidée. La moitié d’entre eux sont les enfants de la personne âgée et dans un  tiers des cas l’aidant familial est le conjoint.

L’âge moyen des aidants familiaux est de 55 ans. Une grande majorité d’entre eux sont donc en âge de travailler. 61% de ces personnes ont moins de 60 ans et doivent donc jongler entre leur vie professionnelle et leur vie d’aidant. 37% d’entre eux sont des aidants familiaux âgés de plus de 60 ans, et dans ce cas leur propre vieillesse entre en considération et peut poser des problèmes.

Enfin, on estime qu’un aidant a procuré une aide à un proche pendant en moyenne 16 ans.

  1. Les enjeux

De ce fait, de forts risques d’épuisements pour ces personnes sont à prévoir, d’un point de vue physique ou moral. Il y aurait effectivement deux aidants sur dix ressentant une forte fatigue morale ou physique. Toutefois, les aidants familiaux ne sont pas toujours conscients de leur degré d’épuisement par déni ou par culpabilité. Des dépressions touchent un aidant sur deux au bout de deux à trois ans.

C’est pourquoi il est important pour ces personnes de pouvoir partager leurs épreuves du quotidien sans jugement et d’avoir les conseils de personnes ayant vécu les mêmes expériences. De nombreux blogs, institutions, associations et entreprises sont au service des aidants familiaux. Ils peuvent leur prodiguer des conseils, des formations, des logements d’accueil de « répit » s’ils ont besoin de se reposer quelques temps, des financements…

Ces personnes sont soutenues financièrement mais seulement 16% des aidants estiment suffisants les apports financiers qu’ils perçoivent. De surcroît, il est encore peu commun de s’absenter de son lieu de travail de manière régulière afin de soutenir une personne âgée par exemple.

 

Le milieu des aidants familiaux est en pleine structuration depuis quelques années mais il reste encore un grand nombre d’étapes à franchir avant que ces personnes puissent recevoir l’aide suffisante allégeant leur quotidien.

 

Sources :

DRESS (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques)

http://www.la-croix.com/Actualite/France/Les-aidants-familiaux-un-rempart-contre-la-maladie-le-handicap-ou-la-dependance-2013-10-06-1034513

 

[1] Source : Charte européenne de l’aidant familial

5 questions que l’on se pose quand on souhaite obtenir l’agrément de services à la personne

 1) Qu’est-ce que l’agrément de services à la personne ?

L’agrément est une autorisation administrative permettant à un organisme d’attester de la qualité de ses prestations et de bénéficier d’avantages sociaux et fiscaux : la TVA à 5,5%, le crédit d’impôt sur le revenu ou des exonérations de charges sociales.

L’agrément est valable pour une durée de cinq ans et renouvelable. Sa portée est départementale. En effet, si l’entreprise souhaite exercer son activité, à plus long terme, dans plusieurs départements, elle doit obtenir l’avis du président du conseil général du département concerné.

 

2) Il existe deux niveaux en matière de services à la personne. Quelles en sont les différences et les spécificités ?

D’une part, il existe la déclaration d’activité[1] qui n’est pas obligatoire pour exercer. Néanmoins, pour pouvoir bénéficier des avantages fiscaux et sociaux, cette déclaration doit obligatoirement être faite.

D’autre part, il existe également l’agrément[2] qui est, contrairement au précédent, indispensable pour les structures s’adressant à des publics fragiles (assistance aux personnes âgées fragilisées, les services aux personnes dépendantes ou en situation de handicap ainsi que la garde d’enfants de moins de 3 ans).[3]

 

3) Comment obtenir l’agrément ?

Pour obtenir l’agrément, certaines conditions sont requises :

– Respecter scrupuleusement un cahier des charges, composé d’une cinquantaine de points et rédigé par l’Agence nationale des services à la personne[4].

– Exercer exclusivement une ou plusieurs activités de services à la personne et ce au domicile de la personne. Dans le cas où l’entreprise souhaite avoir une activité secondaire, elle doit créer une nouvelle société (sauf exceptions pour certains organismes).

– Être en mesure de fournir les moyens (humains, financiers et matériels) suffisants pour pouvoir exercer l’activité dans les meilleures conditions. 

– Transmettre chaque mois un état statistique à la DTTEFP [5] et établir tous les ans un bilan annuel qualitatif et quantitatif de l’activité en reprenant les moyens mis en œuvre afin d’appliquer le cahier des charges.

– Avoir une charte de qualité unique à tous les établissements, dans le cas où l’entreprise possède plusieurs établissements.

– Le dirigeant ne doit pas avoir fait l’objet d’une condamnation depuis moins de 10 ans pour une infraction[6] et il ne doit pas être inscrit au fichier judiciaire national automatisé des auteurs ayant fait d’infractions sexuelles, dans le cas où l’activité est directement liée avec les mineurs.

 

4) Quelles activités sont soumises à l’agrément ?

Les activités soumises à l’agrément sont les suivantes :

– L’assistance aux personnes en situation de handicap (garde d’enfants en situation de handicap, aide aux actes essentiels de la vie quotidienne…) et/ou âgées ; ainsi que l’accompagnement de ces personnes à l’extérieur de leur domicile.

– La garde à domicile et l’accompagnement (hors domicile) des enfants de moins de 3 ans.

– La garde des malades, n’ayant pas besoin de soins spécifiques, que ce soit de jour comme de nuit.

– L’aide à la mobilité et au transport de personnes en difficulté pour se déplacer à l’extérieur de leur domicile. Il existe également la prestation de conduite du véhicule personnel des personnes dépendantes pour une personne qualifiée.

 

5) À qui s’adresser pour l’obtenir ?

Afin d’obtenir cet agrément, il faut entrer en contact avec la DIRECCTE[7]. L’instruction du dossier peut durer entre deux et trois mois. Ensuite, des contrôles sont effectués par des services de l’état afin de vérifier que les conditions requises spécifiées soient correctes.

L’agrément est ensuite délivré par le préfet du département dans lequel se situe le siège social de l’entreprise.

Finalement, la décision d’agrément est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture et est communiquée à l’Agence nationale des services à la personne ainsi qu’à l’URSSAF.

 

Sources :

http://www.dgcis.gouv.fr/services-a-la-personne/agrement

http://www.cci.fr/web/entreprises/l-agrement

http://vosdroits.service-public.fr/professionnels-entreprises/F23633.xhtml

http://www.creersaboite.fr/actualites/lagrement-en-bref

http://www.entreprises.gouv.fr/services-a-la-personne

 

[1] Anciennement « agrément simple »

[2] Anciennement « agrément qualité »

[3] Article L. 7231-1 du Code du travail

[4] Voir la liste fixée par l’article D7231-1 du Code du travail

[5] Direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle

[6] Se référer à l’article. L.128.1 du Code du Commerce

[7] Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi

Moins de 5% des plus de 65 ans en France ont la téléassistance chez eux !

11 848 343 personnes en France ont plus de 65 ans[1] et seulement 500 000 personnes sont équipées d’un service de téléassistance, soit moins de 5% de cette population. En Angleterre par exemple, la téléassistance est présente chez près de 2 millions de personnes, soit environ 20% des plus de 65 ans[2].

Ces chiffres démontrent clairement que la population française utilise encore très peu ce service. Comment-peut-on expliquer ces chiffres ?

 

La téléassistance traditionnelle, un service arrivé à maturité

La téléassistance existe en France depuis près de 30 ans et ce marché s’élevait à 79,2 MEUR en 2010[3], avec notamment des grands noms tels que Présence verte, et Mondial Assistance.

bracelet-collier

La majorité des personnes équipées possède la téléassistance dite classique ou traditionnelle, c’est-à-dire avec médaillon ou bouton d’appel à porter sur soi. Or, on sait que dans 20 à 50% des cas, la personne ne portait pas son médaillon lors d’une chute

De plus, porter un médaillon ou bracelet peut faire naître chez ces personnes âgées un sentiment de stigmatisation de la dépendance et d’isolement[4].

Enfin, de nombreux séniors ont peur d’introduire des nouvelles technologies dans leur quotidien. Ils peuvent se sentir surveillés ou ne savent tout simplement pas l’utiliser.

La téléassistance, au service des personnes

Malgré ces points négatifs, il est vrai que la téléassistance est un réel atout pour les personnes âgées vivant seules à leur domicile ainsi que pour leurs proches. Ce service est sécurisant et rassurant.

Néanmoins, de nouvelles technologies doivent naître afin de faciliter l’usage de ce service pour les personnes équipées et veiller à leur maintien à domicile de manière optimale, en augmentant notamment le taux d’efficacité de l’envoi des alertes, et en assurant la bonne adéquation des mesures de secours déployées en cas de problème.

De la téléassistance classique à la téléassistance innovante

De nombreuses innovations ont été développées en Europe dans le domaine, comme notamment la détection de problèmes concernant l’environnement (détecteurs d’intrusion, d’incendie, de gaz…), les détecteurs de chute (systèmes avec accéléromètre intégré), ou les téléassistances mobiles (téléphones adaptés et géolocalisés pour les seniors).

Ces nouvelles technologies sont complétées par des systèmes type domotique, comme notre service de téléassistance innovante OTONOdetecteurs
-ME
. En effet, des capteurs autoapprenants à infra-rouge passif, et non des caméras, sont installés dans le logement de la personne âgée ou fragilisée afin de la protéger sans qu’elle n’ait besoin de déclencher d’alarme. Cette téléassistance innovante est discrète et complètement autonome. Plus besoin de médaillon ou de bouton d’appel à porter sur soi, la personne vit normalement et en oublie même qu’elle est équipée d’un service de téléassistance !

L’enjeu est maintenant pour ces nouvelles technologies d’accéder au marché et de venir enfin proposer aux clients des services allant bien au-delà des fonctionnalités actuelles des boutons d’appel. Un service comme OTONO-ME protège en effet la personne fragilisée, mais il rassure et informe également ses proches, et permet aux professionnels du secteur de l’aide à domicile d’être plus efficaces et réactifs durant leurs interventions.

 

Sources images :

Bouton téléassistance Tunstall : http://www.tunstall.nl/fr/aandachtsgebieden/87-chutes/producten/79-myamie.html

Capteur infrarouge passif OTONO-ME

[1] Source : INSEE au 1er janvier 2014

[2] Source : http://www.statistiques-mondiales.com/royaume_uni.htm

[3] Eurostaf

[4] Eurostaf