TELEGRAFIK, start-up toulousaine spécialisée dans le Big Data et les services connectés intergénérationnels, lance un tout nouveau service d’alerte et de monitoring adapté aux besoins des personnes âgées vivant seules à leur domicile. Baptisé Otono, cette téléassistance 2.0 permet aux familles et/ou aux services d’intervention d’être prévenus en temps réel en cas d’anomalie. Le service repose sur des algorithmes d’intelligence artificielle traitant les données issues de n’importe quel type de capteur, installés dans le logement de la personne fragilisée. Cette solution intelligente vient bouleverser le marché de la téléassistance traditionnelle avec bouton d’appel.
Un service innovant adapté aux enjeux sociétaux du maintien à domicile des personnes âgées
La solution Otono-me vient révolutionner le secteur de la téléassistance qui utilise les mêmes technologies depuis 30 ans.
« Aujourd’hui, en France, on compte près de 500 000 personnes équipées d’un système de bouton d’appel d’urgence ou médaillon. Cependant, dans la majorité des cas de chutes, il s’avère que la personne ne le portait pas sur elle ou qu’elle n’arrive pas à atteindre le bouton », explique Carole Zisa-Garat, Présidente de TELEGRAFIK.
Partant de ce constat, TELEGRAFIK a développé Otono-me, un service visant à sécuriser les personnes âgées désireuses de rester à leur domicile le plus longtemps. Une fois les capteurs de mouvement installés à son domicile, la personne vit comme d’habitude, Otono-me veille sur elle. Les données issues des capteurs sont analysées par des algorithmes d’intelligence artificielle élaborés par TELEGRAFIK qui détectent des anomalies d’activité de la personne, comme par exemple une absence suspecte de mouvements. Les proches des personnes équipées, le personnel aidant voire les services médicaux peuvent ainsi être alertés en temps réel en cas de problème.
Pour les particuliers, la solution est simple d’utilisation et rassurante. Une application smartphone est disponible pour les proches et aidants et leur permet de vérifier si tout va bien.
Contrairement à d’autres solutions qui existent sur le marché, celle-ci est discrète : aucun dispositif n’est à porter sur soi. Autre avantage, la solution s’installe en quelques minutes et ne nécessite aucune connexion internet. Les données sont sécurisées et les utilisateurs peuvent choisir de ne pas communiquer certaines informations.
Une start-up de l’internet des objets au fort potentiel de croissance
Positionnée sur un marché en plein essor, TELEGRAFIK table ainsi sur une forte croissance à court-terme avec une centaine de logements équipés au premier semestre 2015 et un millier fin 2015. TELEGRAFIK veut par ailleurs proposer Otono-me à d’autres pays étrangers ayant les mêmes problèmes démographiques que la France, tels que l’Italie et l’Allemagne.
Du fait de l’attractivité de son offre, TELEGRAFIK a rapidement pu intégrer Nubbo, l’incubateur afin d’accélérer son accès au marché, aux capitaux et augmenter ses chances de succès.TELEGRAFIK a aussi été sélectionné par l’Orange Fab France, le programme d’accélération d’Orange.
TELEGRAFIK collabore avec de nombreux partenaires tels que : le LAAS-CNRS (Laboratoire d’analyse et d’architecture des systèmes) dans le cadre de l’appel à projet Agile IT soutenu par la région Midi-Pyrénées, afin d’améliorer l’intelligence du service Otono-me ou encore Ekito, accélérateur de start-up, et entreprise agile dans les domaines du conseil et du développement informatique, acteur clé dans le développement du projet Otono-me.
Prix indicatif : abonnement à partir de 20 euros / mois
À propos de TELEGRAFIK
TELEGRAFIK est une start-up française spécialisée dans le traitement des données issues de n’importe quel type de capteurs, à l’aide d’algorithmes d’intelligence artificielle. Pour plus d’informations : www.telegrafik.fr
À propos de Nubbo, l’incubateur
Créé en 2000, Nubbo, l’incubateur a pour mission de faciliter la création de start-ups innovantes ayant un fort potentiel de développement sur le territoire régional. Pour plus d’informations : https://nubbo.co/
Pour télécharger le communiqué de presse : ici